Le défi pour les marketeurs est d’être « disruptifs » pour que leur contenu perce, mais pas « intrusifs » au point de devenir gênants, en plus d’être de plus en plus omnicanaux, avec un message cohérent et unifié, qui construise des relations avec les consommateurs.
Quand le premier confinement se met en place, en mars 2020, les autorités de protection de l’enfance se montrent très inquiètes quant à une possible recrudescence des violences : face à cette menace, comment aider ces enfants ?
Aujourd’hui, en radio, le modèle du spot publicitaire « classique » est prédominant. Ces campagnes sont essentiellement promotionnelles et énormément basées sur la répétition dans un objectif premier de création de trafic.
Pour séduire la génération Z, la néo banque Vybe les fait danser sur TikTok. La plateforme sociale est l’outil pivot de la campagne d’acquisition de cette start-up lancée en 2019.
En quoi une marque améliore-t-elle concrètement la vie des gens dans leur quotidien ? Est-elle sincère dans tout ce qu’elle émet comme message ? Le directeur de l’agence Change livre son analyse sur l’étude « Benevolence Index » qu’il a publié avec Kantar 366.
L’opération réalisée par M6 Publicité avec Fuse et Buzzman est un bel exemple de brand content, qui transforme le message de marque en une véritable expérience.
LVMH affiche son implication dans l’économie circulaire en lançant une plateforme digitale de revente de tissus et cuirs en provenance des stocks non-utilisés des maisons de mode du groupe. Cette initiative sans doute utile pour le groupe est un puissant message RSE envoyé aux professionnels du secteur.
Les engagements environnementaux et sociétaux des marques dans leur activité digitale est au cœur de ce que le tout nouveau « Observatoire de l’impact positif » (Big Youth) analyse et note.
Beaucoup de mes travaux de recherche sur le brand content et la brand culture sont nés de séances de travail avec Raphaël qui a été élève de Roland Barthes. Voici le compte-rendu d’une séance sur le sujet du storytelling.