Dans un monde où tout le monde crie, ce sont ceux qui chuchotent qui seront entendus.
Les #marques qui gèrent la rareté dans leurs communications – produisant moins de contenu mais d’une qualité, d’un niveau d’originalité et d’une pertinence supérieurs sur le plan culturel – créeront des signaux, pas du bruit.
Voici les trois points principaux :
La rareté est une bonne chose. Cela vous donne le temps de développer les récits les plus intéressants au lieu d’en ajouter à la « décharge » culturelle quotidienne.
Contrairement aux récentes franchises de super-héros (où les suites sont produites rapidement, souvent au détriment de la qualité), Christopher Nolan pense que sa trilogie Batman a connu un tel succès en raison de l’espace qui lui a été accordé.
Si les marques créent du contenu que les gens peuvent trouver n’importe où ailleurs sur Internet, elles échoueront. Les données peuvent nous aider à comprendre ce que notre public regarde, partage et commente, mais ce n’est pas une boule de cristal. La data ne créera pas d’idées originales. Même #Netflix, qui utilise les données de manière incroyablement intelligente, doit encore faire des sauts créatifs pour rendre les choses exceptionnelles.
Les histoires originales attireront toujours l’attention, mais celles qui comprennent et reflètent la culture de notre époque ajoutent du sens et de la résonance.
Dans le monde polarisé d’aujourd’hui, pour qu’une marque fasse vraiment partie de la culture, il ne suffit pas de commenter le « Dry January » sur Twitter, mais comprendre le monde dans lequel son audience évolue, prendre position vis-à-vis d’un problème important pour elle et s’engager à long terme avec son propre contenu.
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Texte traduit de l’anglais par Luciana Uchôa-Lefebvre.
